Dans la série « l’ultime estocade grise », voici la variante « des petites fleurs partout ». La cruauté de la scène est atténuée par l’existence d’un parterre de jolies fleurs. Quand le spectateur cache les fleurs avec sa main (ou une feuille de papier, ou même un livre, ou un chat), les visages paraissent encoure plus bestiaux. Merci à toutes ces fleurs de nous faire accepter plus facilement la dureté de notre monde actuel.
PS. Si vous avez utilisé un chat, merci de le déposer délicatement sur le sol…