Pourquoi ce titre ? Il m’est venu comme ça, alors je n’est pas hésité. Le visage, en cours, ressemble plus à un clown qu’à un gnou, mais qui sait… affaire à suivre.
Je regarde à nouveau (J+1) ce visage. Il est trop…. trop tout. Il faut que je le revois: plus soft, moins caricatural. J’y retourne demain.
Je ne savais pas que le pouce n’avait que 2 phalanges. J’ai récité, comme tout le monde le triplet gagnant : phalange, phalangine, phalangette. Un peu comme au fameux jeu Sloubi, avec la suite: … Tacate, Cacatac, Cagactaca, Ratatac mic, et Chanter Sloubi. 3 phalanges donc !! et le pouce, je ne m’étais pas posé la question… 3 comme les autres doigts. Il suffit de voir le dessin, dans ce post, que j’ai fait il y a plus de 2 ans. Jusqu’à ce que Jajane m’annonce il y a quelques mois, sans prévenir: non, Pilip, le pouce n’a que 2 phalanges ! Dubitatif, je dévisage mes pouces, le gauche, puis le droit, compte les morceaux d’abatis, les recompte… rien à faire, les pouces n’ont que 2 phalanges.
Merci donc à Jajane, pour ses connaissances en géographie humaine. Maintenant, mes mains ont l’air moins anormales.
Ce matin a eu lieu le décrochage de l’exposition 3 rue des artistes. 5 tableaux ont réintégré mon atelier. J’ai posé « l’ultime estocade grise », momentanément, sur une ancienne table à jeu. Voilà donc un des trois exemplaires de cette légendaire série. 2 hommes se battent, un duel en quelque sorte, et l’un des deux assène à l’autre, son adversaire, le fameux coup. Celui-ci a l’air parfaitement exécuté, et on devrait voir, dans quelques secondes l’asséné se déliter. Les raisons du conflit ne sont pas vraiment connus…
Bon, je parle de ce sujet annexe parce que l’exposition des mes oeuvres près de la cathédrale de Troyes, tout près, n’a pas suscité l’engouement espéré: aucun contact pendant ces 2 mois, ce qui est quelque peu désespérant. Je suis habitué, mais je n’arrive pas à m’habituer, … ou l’inverse. Mais comme dirait le terminator: « I’ll be back » .
Quant à cette série, je vais la continuer: 3 peintures sur le même sujet, avec 2 personnages, et des fleurs.
J’ai participé ce week-end à une exposition collective à Saint-Benoist-sur-Vanne. des artistes qui sont devenu des amis, des rencontres très intéressantes pendant 2 jours. Bravo à l’équipe qui a organisé cette manifestation artistique.
Je publie une photo de 16 cartes de visite, faites à la main, toutes différentes, que j’ai distribuées aux visiteurs intéressés par mes oeuvres.
Encore un dessin rapide, que j’ai fait un soir de TV, une bouille amusante, plein de gribouillis et de taches de rousseur, avec une coiffure plutôt sage, avec des yeux curieux, comme d’habitude.
Je voulais mettre « elles sont deboutes » mais le mot debout est un adverbe. On dit pourtant « elles sont assises », ou « elles sont couchées ». Pourquoi le verbe « debouter » n’existe pas, alors que les verbes « assoir », ou « coucher » existent.
Pas facile de parler de peinture, de son travail, alors je diverse (non, il faut dire « je fais diversion »).
Un tableau que j’ai commencé après mon retour de La Rochelle. Le plus grand tableau, plus de 1,1m de large, pour l’instant. Un arc-en-ciel parce que, quand on avance vers lui, on ne se rapproche pas de lui.
Pourquoi ? – il recule lorsqu’on avance ( et il avance quand on recule) – on reste sur place par rapport à lui – à chaque pas, il disparait et un autre apparait – à chaque pas, on disparait, et un autre moi, identique, réapparait, équidistant – après, on peut envisager l’intervention d’univers parallèles, ou de magie La vie n’est pas simple, quand on se pose les mauvaises questions.
Sinon, pour en revenir au tableau, je n’ai pas grand-chose à en dire.
Exposition dans la galerie marchande de la Fnac, au centre ville de Troyes, avec plusieurs artistes et artisans. De nombreuses visites et des échanges sympathiques. L’exposition a été organisée par la Chambre des Métiers de l’Aube